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Voyage îles Grecques, séjours pas chers

Les îles Grecques sont une destination incontournable pour vos vacances. Les paysages sauvages de ces îles vous émerveilleront grâce à leurs vestiges anciens et leurs nombreux lieux incontournables ! Les plages au sable chaud et aux eaux turquoises vous promettent un dépaysement total. Du Dodécanèse aux Cyclades, chaque île dévoile son charme et ses paysages intimes et secrets. Venez découvrir les différents visages d'une destination chaleureuse. Pour plus de vacances dans les îles Grecquesvacances à Kos, vacances Rhodesvacances Corfou.

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Quand partir dans les Îles Grecques ?

La saison balnéaire s’étend d’avril à octobre, mais chaque saison a ses charmes. L’été garan tit le bronzage… et les grandes affluences sur les sites. Le prin temps, particulièrement charmant à Pâques, est plus tranquille, tout comme l’automne, magnifique dans les régions feuillues et monta gneuses. L’hiver promet d’avoir les sites pour soi seul. Attention cependant : beau coup d’hôtels ferment fin octobre pour ne rouvrir qu’en mars.

Boucler sa valise pour un séjour dans les îles Grecques :

Emporter des vêtements légers, clairs et non synthétiques, un petit pull, un imper à la mi-saison, et de quoi couvrir genoux et épaules pour la visite des églises. Pour parer à toute occasion mondaine : robe et veste sport, chemisier et chemise blancs, collier ou broche (éviter les bijoux religieux surtout d’origine orthodoxe !) et cravate sobre. De bonnes chaussures sont conseillées, le sol des sites étant irréguliers et le marbre glissant. Sur la plage, tongs et sandales en plastique permettront de se protéger de récifs, fragments d’épaves et oursins. Le maillot de bain sans haut est toléré sur les plages touristiques, il choque cependant beaucoup de Grecs et il faut l’éviter sur les rivages plus traditionnels. On trouve des plages nudistes officieuses un peu partout. Généreux, le soleil est aussi exigeant en matière de crème solaire, couvre-chef et lunettes de bonne qualité.

Santé :

Aucun vaccin n’est exigé mais un rappel antitétanique n’est jamais inutile. Prévoir un anti septique, des pro duits de soin contre les brûlures solaires ainsi qu’une pince à épi ler pour épines et piquants d’oursin. Attention aux vipères que l’on peut rencontrer en bord de route, notamment en période de reproduction, en mai. Les préservatifs se vendent en pharmacie ou dans les distributeurs automatiques des toilettes pour hommes. Pour traiter les symptômes de diarrhées aiguës, prévoir un antidiarrhéique qui permettra, en complément d’un régime réhydratant, d’éliminer rapi dement la gêne occasionnée. Pour apaiser piqûres d’orties ou d’insectes et coups de soleil, appliquer une crème appropriée qui viendra à bout des démangeaisons gênantes. Contre le mal des transports, penser au médicament antinauséeux.

Passeport et visa :

La Grèce fait partie de l'espace Schengen, mais comme partout, chacun doit avoir en permanence sur soi son passeport ou sa carte d’identité en cours de validité.

Faire ses achats dans les Îles Grecques :

Les boutiques de souvenirs sont loin de refléter le bon goût qui inspire les meilleurs artisans grecs ; tout au plus y trouvera-t-on des cadeaux pour des enfants : marionnettes ou panoplie de guerrier en fer-blanc.
L'artisanat : Pour acquérir des pièces d'artisanat traditionnel, faites main, mieux vaut se rendre directement chez un potier, un tisserand ou un ébéniste des produits préservés de la production de série. Le bel artisanat se trouve au prix fort, dans les hôtels et les boutiques de luxe, qui proposent de magnifiques objets de la vie rurale : jarres, quenouilles, huches…

Les boissons : Les boissons nationales sont l’ouzo (marc distillé avec des graines d’anis) et le vin dont quelques crus sont classés. Les plus caractéristiques sont le samos, le mavrodafni de Patras et la retsina, vin blanc de qualité souvent médiocre qu’on conserve par addition de résine.

Les antiquités : Icônes et antiquités ne peuvent être exportées, mais les musées nationaux en proposent de bonnes reproductions.

Les objets design : Le design grec, qui fusionne parfois avec l’artisanat le plus ancestral (poterie, tissage, forge…), est particulièrement créatif. On le trouve non seulement dans les grandes villes, mais aussi dans des bourgades où de jeunes créateurs ont su inverser l’exode rural.

 

Corfou  :  Bateau depuis Igoumenitsa, Patras et Paxos. Avion depuis Athènes. Des cyprès piqués au milieu des oliviers, des façades moutarde ou rose tyrien, des chants qui rappellent ceux de la plaine du Pô : Corfou n’est pas précisément le portrait-robot de l’île grecque. Seule terre hellénique à avoir échappé aux Turcs, elle a cependant subi les Vénitiens et la coupe britannique. Parce que la ville de Corfou était coincée entre ses deux forteresses, elle a dû se construire en hauteur. Méli-mélo d’architecture italienne, française et anglaise, le quartier bourgeois entoure les pelouses de la Spianada. Des cafés à la milanaise occupent ses arcades du Liston, dessinées à l’identique par l’architecte de la rue de Rivoli, à Paris.

Achillion, Corfou  : L’impératrice Elisabeth d’Autriche, plus connue sous le nom de Sissi, a élevé ce palais néocorinthien à l’idéal grec de la beauté, Achille. Le destin a voulu que ce soit un Kaiser au bras atrophié, Guillaume II, qui en hérite. Les 128 salles du palais au style pompéien était répartis sur trois niveaux. Le premier étage qui abrita jadis un casino est fermé aux visites, mais on peut voir quelques salles, le bureau de l’empereur, avec une selle de cheval en guise de fauteuil, la toile de Franz Matz, Le Triomphe d’Achille, et les jardins à la végétation généreuse.

Eubée : Accès par le pont de Halkida. Bateau depuis Rafina, Arkitsa, Agia Marina, Oropos et Skyros. Eubée signifie « île aux belles vaches ». Elle était jadis plus connue sous le nom de Négrepont, déformation d’Egripos, l’ancien nom de Halkida. Après la Crète, l’Eubée – Evvoia, est la plus grande des îles grecques. Un pont blanc et une demi-douzaine de lignes de bac la relient à la Grèce. Ses paysages verdoyants et variés, le mont Ohi flanqué de chalets de lauzes, ses fortins éparpillés lui donnent des allures on ne peut plus continentales. Ses plages nombreuses dotées d’infrastructures familiales lui ont valu un succès éclair dans les années 1990.

Skyros : Bateau depuis Eubée. Avion depuis Athènes. C’est dans cette île en papillon qu’Achille, vêtu en fille, joue les objecteurs de conscience. Ulysse, déguisé en colporteur, le piège : il glisse épées et poignards parmi les bijoux qu’il présente aux demoiselles. Trahi par sa fibre virile, le héros n’a d’yeux que pour les armes. Le voilà démasqué, il doit se résigner à suivre Ulysse vers Troie et mourir d’une flèche au talon. La ville de Skyros est dédiée à l’artisanat, affiché sur chaque demeure. Perchée sur un piton cerné de maisons blanches et de plaines à blé, la citadelle de Lycomèdes marque l’endroit où ce roi poussa Thésée dans le vide ! Les fortifications antiques ont été améliorées par les Vénitiens.

Kos  : Bateau depuis Le Pirée, Rhodes, Samos et Kalymnos. Avion depuis Athènes. Kos possède le plus ancien asclépion connu – ces centres de soins placés sous le patronage du dieu-thérapeute Asclépios. Logique : Kos est l’île natale d’Hippocrate. Le père de la médecine chevauchait de village en village, afin d’offrir la santé aux plus humbles. Son génie, c’est d’avoir mis tous les organes des sens au service du diagnostic, toucher, ouïe, goût (même des urines) et odorat ; et de tenir compte, dans ses soins, de l’environnement du malade : l’eau bue, la nourriture, l’affection des proches…

Rhodes : Son nom rauque comme un soupir de taureau a du mal à rendre une douceur qui se prolonge au coeur de l’hiver. L’Ile rose traîne le souvenir intimidant de son Colosse et des rudes chevaliers qui harcelèrent les Turcs pendant 213 ans, avant de plier bagage, direction Malte. Dans la ville de Rhodes, les remparts enserrent un réseau animé de ruelles où résonnent les rires des tavernes. Chaque portion de mur par une « langue » (nationalité de l’époque) ; dans le sens des aiguilles d’une montre, depuis la tour Saint-Pierre : Français, Castillans, Italiens, Provençaux, Anglais, Aragonais, Auvergnats et Allemands. Hors des murs s’ouvrent les larges rues fleuries de la ville moderne et trois ports, avec leurs moulins.

Palais des Grands Maîtres, Rhodes :  Ouvert du mardi au dimanche de 8 h 30 à 17 h, jusqu’à 15 h le reste de l’année. Entrée payante. Son et lumière d’avril à octobre, en français mercredi et dimanche. Entrée payante. C’est là que logeait le chef suprême de l’ordre (après Dieu et le pape). Il a été abusivement restauré par Mussolini, qui comptait en faire une résidence secondaire. Les vastes salles sont pavées de mosaïques antiques, mises au jour dans tout le Dodécanèse. Cela forme un intéressant musée, plus touchant que les salles converties à l’apparat des années 1930.

Port de Mandraki, Rhodes : Quittant les remparts de la vieille ville, on entre dans la nouvelle par la porte de Nea Agora, le nouveau marché, reconnaissable à son dôme blanc. À droite s’ouvre le Man draki, le port principal devenu marina. Il est gardé par deux colonnes surmontées, l’une d’une biche, l’autre d’un cerf. Dressées par les Italiens, elles désignent l’emplacement du Colosse, tel que le voyait – de manière erronée – l’occupant d’alors. Celui-ci a également laissé le palais du gouverneur, de style néo vénitien. En revanche, c’est aux Ottomans qu’on doit l’élégante mosquée de Murat Reis, qui porte le nom du chef d’état-major turc tombé pendant le siège de 1523.

Kalithea, Rhodes : À 8 km au sud de Rhodes-ville. Dans l'archipel du Dodécanèse, près de la mer blanchissent les ruines roses de cette station thermale désaffectée de l’époque fasciste. La peinture s’écaille. Les enfants crient. La plage délicieuse ensable le béton. Les platanes ont poussé à l’intérieur des piscines, ouvrant des perspectives surréalistes. La station offre les plus belles plages de la côte. Il est possible de profiter des loisirs aquatiques ou d'explorer la nature lors d'une randonnée sur les collines avoisinantes.

Lindos, Rhodes : À 50 km au sud de Rhodes-ville. Les escaliers courent dans le village blanc. Toisant la mer de toute sa hauteur, Lindos est la deuxième attraction de l’île. De nombreux portails sculptés avec un luxe de finesse désignent les maisons de capitaines d’autrefois. Dans les courettes pâles, on sert le café sur des coussins brodés. Au-dessus, une grande forteresse des hospitaliers squatte une acropole antique (ouvert du mardi au dimanche de 8 h 30 à 15 h) au plan étonnamment symétrique. Non loin, le château hospitalier de Monolithos est un véritable nid d’aigle, perché sur un roc impression nant, permettant de débusquer la moindre galère montant sur l’horizon.